la version PDF donc imprimable du Marmonnateur
(Cliquez sur 2023 pour aller découvrir la version blog qui comporte des documents sonores, PDFs, des liens... Bref, la version originale, plus complète, plus amusante, plus 2023).
Des références datée du bel aujourd'hui (en attendant la "Beepocalypse" de 2023) :
- La Une du Times (19 août 2013)
- La disparition des abeilles annonce-t-elle la fin du monde? Un dossier de l'Express (2012)
- Un article du Guardian (donc en anglais) sur les conséquences économiques (impact agricole) de la baisse des colonies d'abeilles (21 août 2013)
- Même idée dans The Scotsman (et an anglais toujours donc, le 14 août 2013)
- Le déclin des abeilles, un rapport de Greenpeace (avril 2013)
Quelques pages web amies pour finir:
- Un avion dans les yeux (zoologies), le blog de Zoe Benoliel, illustratice du Marmonnateur
- La chair des mots, le site de Stéphane Nowak Papantoniou, un des relecteurs de ce blog
- The Law of the Dancefloor, la page Facebook (en anglais) de Sha LaBare, qui a également eu la gentillesse d'offrir ici ses conseils et sa lecture critique
Très savoureuse "verbalisation virulante vis-à-vis de la vérole tulipante albertivivrelibrarienne..." !
RépondreSupprimerM. Lementore (que ses dieux Mânes veillent sur lui) n'est plus en mesure de regretter d'avoir ignoré ce pressant appel à « sauvation »...
Mais aujourd'hui (nous ne sommes pas tout à fait encore en 2023), on apprend une suite surprenante à cette histoire de tulipes noires de malodorer : deux ruches de ces sujettes guenevievriennes semblent avoir été piquées nuitamment ! On les croie emportées par de vulgaires voleurs – à moins que ceux-ci aient agi dans le souci de leur épargner le triste destin ici dépeint de devenir des "éternuantes Apis veules vides errantes", après tout?
D'où la pensée insidieuse qui suit aussitôt, dans un monde où le soupçon délirant est presque devenu la règle (s'il ne l'a pas toujours été): j'espère qu'un lanceur d'alerte dans votre genre n'est pas accusé de ces méfaits... ?
Ce qui fait obstacle à une telle pensée est le très habile démasquage auquel vous procédez de ce type de mécanisme projectif à l’œuvre dans certains discours politiques ("A qui profite le crime?", "Ne nous trompons pas de cible") – entêtement très jouissivement désamorcé par l'actionnement alerte de liens surréalistes puisant à leur source dada : "pelochon", que le lecteur naïf que je suis tient pour le nom de code d'un politicien, se gonfle d'amour dodo en polochon! Renversant. Mais ce Pelochon existe bel et bien et siège au Conseil Municipal aux côtés (entre autres) de Mme Bretzel-Zhang (Ich liebe BZhou)! Je ne sais plus où mettre ma tête qui bourdonne ni ce nez bouché comme par une inflammation (allergie? Ô piquantes déesses Mânes !).
Je parie que cette dame endosse une identité proche (A.K.A.) de celle de Capucine Anekbaly qui décide la mise en place de cours de langages animaliers gratuits pour tous... Je m'inscris !
La réalité dépasse toujours la fiction... Merci de ce commentaire riche et de la lecture attentive qu'il révèle.
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